mardi 18 juillet 2023

La FIN du SILENCE

Contenu pouvant être perturbant et potentiellement déclencheur. Cette vidéo contient de graves allégations concernant des francs-maçons, cela reste des présomptions reposant sur des témoignages n’ayant pour la plupart pas fait l’objet d’enquêtes judiciaires.Il n’est pas question ici d’accuser globalement toute la Franc-maçonnerie de perpétrer des rituels sadiques et violents, il est probable que certains maçons opèrent sans le consentement de la majorité des membres de la loge.Le culte du secret sur lequel repose la Franc-maçonnerie pose un problème, voire un danger pour elle-même, car il lui est impossible de certifier que ce genre de pratiques rituelles « pédo-sataniques » n’existent pas dans certaines arrières Loges, que d’autres qualifieront de « Maçonnerie déviante » ou encore « Maçonnerie irrégulière ».Le cloisonnement strict de cette hiérarchie pyramidale fait que les initiés progressent « à l’aveugle » dans cette vaste organisation et ses diverses ramifications, notamment les écoles à mystères dites ésotériques ou hermétiques…Tout franc-maçon sincère, dans une démarche de recherche et d’amélioration personnelle (il y en a beaucoup), prenant connaissance de ce documentaire de 4 heures, devrait au minimum en faire une planche pour questionner et sensibiliser ses frères sur de telles accusations récurrentes.

mercredi 22 février 2023

Georges Bernanos, La France contre les robots

 
 
Georges Bernanos est né le 20 février 1888 à Paris et est mort le 5 juillet 1948 à Neuilly-sur-Seine. Il est l’auteur d’une œuvre « de première magnitude », comme l’a très vite souligné André Malraux et trouve place parmi les plus grands écrivains français du XXe siècle. À travers ses romans et essais, c’est en chrétien, ombrageux et passionné, qu’il affronte le XXe siècle. En esprit libre, il tracera son itinéraire propre.

samedi 17 septembre 2022

 


LETTRE D'ADIEU A UNE RELATION TOXIQUE.
À ma moitié toxique, ceci est mon dernier adieu
« Tu t’es avéré être tel que les autres me l’avait décrit. Je n’ai jamais prétendu être quelqu’un d’autre que ce que je suis. Et c’est moi qui ai été blessé… Je sais qu’une autre femme est quelque part au fond de toi, mais je ne peux pas l’attendre. Parce que t’attendre, c’est comme attendre la pluie dans une sécheresse. Inutile et décevant.”

Y'akoto Live at Leverkusener Jazztage 2012

La scène, Y’akoto l’a connue dès l’enfance. De son vrai nom Jennifer Yaa Akoto Kieck, elle est née à Hambourg d’un père ghanéen et d’une mère allemande.
« Mes parents, des gens très fiers, m’ont éduquée dans les deux cultures et ça n’a jamais posé de problème à la maison. » Très vite, ils s’installent au Ghana où elle grandit et est scolarisée. « C’est en Afrique que j’ai été introduite au monde, c’est pour cela que j’y retourne souvent, pour garder ce lien vivant », explique-t-elle, avant d’ajouter : « Aujourd’hui, je ne sais pas vraiment où je vis, en fin de compte. Je suis souvent en Afrique de l’Ouest, notamment au Ghana, au Bénin, au Togo ou au Sénégal, mais aussi en France et, bien sûr, en Allemagne. Dans le meilleur des cas, je reste trois semaines au même endroit. »
Son père est un musicien de highlife. « Et c’est au cours de l’un de ses voyages qu’il a rencontré ma mère, qui était à l’époque l’une de ses groupies », confesse-t-elle en riant. Incitée très tôt à jouer du piano, elle se passionne rapidement pour la musique. Elle intègre des groupes, se met à écrire et à composer. Mais elle tiendra à finir ses études pour obtenir un diplôme de professeur de danse, avant de se lancer dans une carrière de chanteuse.
De ce brassage culturel, les deux femmes ont acquis une capacité à créer librement, presque avec culot. Sans se poser de questions sur leur légitimité ou non à s’inspirer d’artistes en tous genres et de monstres sacrés de la musique comme Billie Holiday ou Nina Simone. L’une des raisons pour lesquelles elles chantent en anglais. Si les thèmes abordés dans les chansons (amour, adolescence, tolérance) sont universels chez Mariama, ils sont plus influencés par l’Afrique chez Y’akoto, nourrie des rencontres qu’elle a faites au cours de ses nombreux voyages sur le continent. Leur plus grand atout est incontestablement leur voix. Très pop, à la limite du folk d’une Tracy Chapman pour Mariama ; plus jazzy et soul pour Y’akoto, qui jusque dans les tics scéniques et vocaux se rapproche de Macy Gray ou d’Amy Winehouse. C’est peut-être insuffisant pour se démarquer complètement de la nouvelle génération de chanteuses du genre – comme les francophones Irma, FM Laeti, ou encore Inna Modja -, mais c’est plus que prometteur.

samedi 30 juillet 2022

Survivre au nouvel ordre mondial

 


Par Henry Makow


Il ne s’agit pas de stocker des pièces d’argent ou de la nourriture en conserve ou de se munir d’un AK-47.

Il s’agit de sauver votre âme, pas votre peau. Il s’agit de la tendance à être obsédé par le Nouvel Ordre Mondial, de déprimer et de devenir insupportable.

La situation est déprimante. Une secte satanique contrôle le crédit du monde et dirige à travers une myriade d’outils de procuration. Elle est déterminée à détruire la civilisation et à diligenter un état policier Orwellien.

Vous passez des heures chaque jour à regarder avidement les nombreux nouveaux développements. Votre visage est pressé contre la vitrine du monde.

Vous êtes "externalisés". Vous ne pouvez pas aller dans la cuisine sans allumer la radio.

Vous essayez de réduire votre dépendance au monde. Mais une grande partie de ce que vous imbibez est toxique : la dépravation, la corruption, la duplicité et la tragédie. (Est-ce donc le but des médias de masse ? De démoraliser et de brutaliser ?)

L’humanité est en proie à une force diabolique qui cherche constamment à se légitimer par la tromperie. Vous ne pouvez pas surmonter ce démon. Mais vous avez toujours le contrôle de votre vie personnelle. En fin de compte, l’enjeu de la bataille est l’âme de l’humanité. Pourquoi ne pas commencer par la défense de votre propre âme ?

L'Union de La Tribu (court métrage de Charles Eisenstein w/ Jon Hopkins ...