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°°°Walk the talk°°°
mardi 18 juillet 2023
La FIN du SILENCE
jeudi 18 mai 2023
vendredi 17 mars 2023
mercredi 22 février 2023
Georges Bernanos, La France contre les robots
vendredi 18 novembre 2022
samedi 17 septembre 2022
Y'akoto Live at Leverkusener Jazztage 2012
La scène, Y’akoto l’a connue dès l’enfance. De son vrai nom Jennifer
Yaa Akoto Kieck, elle est née à Hambourg d’un père ghanéen et d’une mère
allemande.
« Mes parents, des gens très fiers, m’ont éduquée dans les
deux cultures et ça n’a jamais posé de problème à la maison. » Très
vite, ils s’installent au Ghana où elle grandit et est scolarisée.
« C’est en Afrique que j’ai été introduite au monde, c’est pour cela que
j’y retourne souvent, pour garder ce lien vivant », explique-t-elle,
avant d’ajouter : « Aujourd’hui, je ne sais pas vraiment où je vis, en
fin de compte. Je suis souvent en Afrique de l’Ouest, notamment au Ghana, au Bénin, au Togo ou au Sénégal, mais aussi en France et, bien sûr, en Allemagne. Dans le meilleur des cas, je reste trois semaines au même endroit. »
Son père est un musicien de highlife. « Et c’est au cours de l’un de
ses voyages qu’il a rencontré ma mère, qui était à l’époque l’une de ses
groupies », confesse-t-elle en riant. Incitée très tôt à jouer du
piano, elle se passionne rapidement pour la musique. Elle intègre des
groupes, se met à écrire et à composer. Mais elle tiendra à finir ses
études pour obtenir un diplôme de professeur de danse, avant de se
lancer dans une carrière de chanteuse.
De ce brassage culturel, les deux femmes ont acquis une capacité à
créer librement, presque avec culot. Sans se poser de questions sur leur
légitimité ou non à s’inspirer d’artistes en tous genres et de monstres
sacrés de la musique comme Billie Holiday ou Nina Simone. L’une des
raisons pour lesquelles elles chantent en anglais. Si les thèmes abordés
dans les chansons (amour, adolescence, tolérance) sont universels chez
Mariama, ils sont plus influencés par l’Afrique chez Y’akoto, nourrie
des rencontres qu’elle a faites au cours de ses nombreux voyages sur le
continent. Leur plus grand atout est incontestablement leur voix. Très
pop, à la limite du folk d’une Tracy Chapman pour Mariama ; plus jazzy
et soul pour Y’akoto, qui jusque dans les tics scéniques et vocaux se
rapproche de Macy Gray ou d’Amy Winehouse. C’est peut-être insuffisant
pour se démarquer complètement de la nouvelle génération de chanteuses
du genre – comme les francophones Irma, FM Laeti, ou encore Inna
Modja -, mais c’est plus que prometteur.
samedi 30 juillet 2022
Survivre au nouvel ordre mondial
Il ne s’agit pas de stocker des pièces d’argent ou de la nourriture en conserve ou de se munir d’un AK-47.
Il s’agit de sauver votre âme, pas votre peau. Il s’agit de la tendance à être obsédé par le Nouvel Ordre Mondial, de déprimer et de devenir insupportable.
La situation est déprimante. Une secte satanique contrôle le crédit du monde et dirige à travers une myriade d’outils de procuration. Elle est déterminée à détruire la civilisation et à diligenter un état policier Orwellien.
Vous passez des heures chaque jour à regarder avidement les nombreux nouveaux développements. Votre visage est pressé contre la vitrine du monde.
Vous êtes "externalisés". Vous ne pouvez pas aller dans la cuisine sans allumer la radio.
Vous essayez de réduire votre dépendance au monde. Mais une grande partie de ce que vous imbibez est toxique : la dépravation, la corruption, la duplicité et la tragédie. (Est-ce donc le but des médias de masse ? De démoraliser et de brutaliser ?)
L’humanité est en proie à une force diabolique qui cherche constamment à se légitimer par la tromperie. Vous ne pouvez pas surmonter ce démon. Mais vous avez toujours le contrôle de votre vie personnelle. En fin de compte, l’enjeu de la bataille est l’âme de l’humanité. Pourquoi ne pas commencer par la défense de votre propre âme ?