mardi 21 novembre 2017

Vaccination: le véritable nettoyage cellulaire


« En médecine, comme dans toute action humaine, il faut garder à l’esprit ce premier principe que tout ce que fait l’homme, tout est toujours soumis à la notion de conflits d’intérêt. On trouve toujours, toujours cette notion de conflits d’intérêt dans toutes les activités humaines. On parle de médecine maintenant, mais ça peut être en politique, ça peut être en religion, ça peut être en science.
« Toujours, toujours, il faut garder à l’esprit cette évidence que le conflit d’intérêt domine absolument toute activité humaine. Alors ça revient à dire que les études de médecine – quand un jeune-homme s’intéresse à la médecine, il se lance dans des études de médecine ; il est de bonne foi, il est animé par un idéal, une vocation, une tradition, n’importe quoi, mais il n’a absolument pas présent à l’esprit qu’il va entrer dans une immense machine dont il ne connaît aucun mécanisme. Il ne se doute pas un instant que tout ce qu’il va apprendre pendant ces 13 semestres d’études de médecine, tout cet enseignement a été formaté par ceux à qui l’enseignement profite. On pourrait penser qu’en médecine, celui qui retire profit de l’enseignement c’est la malade. En principe, le malade veut être soigné et guéri. Mais non, le malade c’est un des aspects du conflit. L’intérêt du malade, c’est un intérêt, mais il est dérisoire face à l’intérêt de ceux qui vont mettre en œuvre les moyens pour soit disant le guérir ; c'est-à-dire surtout pas le guérir, mais le soigner et le soigner le plus longtemps possible jusqu’à ce que mort s’ensuive. La plupart des malades qui confient leur santé à la médecine actuelle, ils sont soignés à vie sans aucun espoir de guérison, sans aucun espoir d’autonomie qu’ils seraient en droit d’obtenir, parce que ce qu’on veut tous, c’est vivre en bonne santé et ne plus avoir besoin du corps médical pour rester en bonne santé. Or, avec cette notion de conflits d’intérêt, tous les moyens que l’on a mis dans les mains du médecin après ses longues études de médecine pour qu’il puisse pratiquer son métier ; tous ces moyens vont dévier, comment dire, vont empêcher de recouvrer la santé.
« Le drame de la médecine c’est qu’elle se veut scientifique, ça c’est le mot utilisé actuellement ; tout le monde prétend exercer une activité scientifique. Cette médecine est soutenue par les gouvernements en place. Ce sont des lobbies qui formatent les études du médecin. Jamais, jamais dans le courant des études de médecine, le jeune médecin n’a entendu parler des forces d’auto-guérison du malade… Tout est biaisé par les intérêts de l’industrie pharmaceutique. Je prétends que tout repose sur cette notion primordiale : la notion de conflit d’intérêt. Dans toutes mes conférences, dans tous mes séminaires, je dis toujours : « tout ce qu’on vous dit en médecine, tout est faux. C’est le premier principe que devraient se mettre en tête tous les étudiants en médecine ; tout ce qu’ils vont apprendre, tout est faux parce que tout est biaisé par les intérêts de l’industrie pharmaceutique. »

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